Mon beau village

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« Notre centre de santé est achevée. Mais il n'est toujours pas encore équipé. Pour les soins médicaux, nous sommes obligés de nous rendre à N’guessankro. Cela n'est pas du tout favorable pour notre population. Nous n'avons pas de centre polyvalent pour nos cérémonies et réunions. Notre marché est toujours à ciel ouvert. Ce qui fait que les commerçants sont toujours exposés aux intempéries de la nature. Les logements de nos enseignants et du prochain agent de santé sont à réaliser. La quasi-totalité des ampoules des lampadaires qui assuraient l’éclairage de nos rues sont aujourd’hui endommagées. L'extension du réseau électrique est l'une de nos préoccupations majeures. Nous demandons à nos élus locaux et cadres de N’dolikro à se pencher véritablement sur notre situation qui devient de plus en plus alarmante… », a affirmé Nanan MESSOU DJABIA, Chef de cours dudit village. C’était au cours d’un entretien avec notre équipe de rédaction.

S'il y a  une localité dont ses principes et son fonctionnement quotidien sortent de l'ordinaire, c'est bien Jésuskro. Comment vit-on dans cette localité ? Pourquoi est-elle excentrée ? Quelle est sa particularité dans le Moronou ? Où est-elle précisément située ?

Située dans le département de Bongouanou et dans  la sous-préfecture d'Andé, la tribu ANOHOU a une histoire qui a connu des hauts et des bas selon le personnage du moment.

      Comme tout groupe AKAN, le groupe qui a constitué la tribu ANOHOU est venu du Ghana vers le 18° siècle (1770). Ce groupe était dirigé par le patriarche KROU KPANGNI, fondateur de la dite tribu. L’or était la principale source de revenu pour tous les habitants. Nanan KROU PKANGNI était un chef intègre et autoritaire. Il était écouté et vénéré, il régnait en grand maître. Il organisait sa tribu selon les principes traditionnels.

Situé à proximité de la mairie de M’batto, le lac AMON KADJO qui normalement devrait faire la fierté de cette ville au point de vue infrastructure touristique, est malheureusement aujourd’hui en pleure de détresse pour abandon total. Que se passe-t-il réellement ?

Le site touristique Bakabo situé dans le village de Sandiebounga, Sous-préfecture de Tiémélékro regorge des insolites pierres qui retiennent toujours l'attention des visiteurs.

La région du Moronou renferme plusieurs sites touristiques. Parmi eux, l’espace Bakabo est un cadre ayant des caractéristiques particulières, révèle le responsable des lieux Monsieur ANOUMA BENOÎT : « L’espace touristique Bakabo présente diverses composantes. Nous avons les plages aux  bordures  du fleuve N’zi qui sont des espaces de détente et de recueillement pour nos visiteurs. Les visites en pirogue.  Il y a ensuite le site des pierres aux écritures historiques.  Ceux pierres insolites retiennent l’attention des touristes qui se rendent ici. Sans oublier les espaces aménagés  sous les arbres qui permettent de respirer l’air frais de la nature. En clair, nous permettons à nos visiteurs de passer des moments somptueux  dans un cadre purement naturel … »

Le mercredi 1er Novembre 2017, le comité de gestion du site ANDE PAYS D’OR, s’est réuni dans les locaux de l’antenne de l’INSET à Cocody Danga.

Etaient présents ce jour : (Voir liste de présence en page jointe au présent compte rendu).

LE COMITE DE GESTION DU SITE WEB D’ANDE www.ande-paysdor.org

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INTERVIEW: EL HADJ BAKOUAN DRAMANE FAIT LA LUMIERE SUR LE PELERINAGE MUSULMAN